November 30, 2010

Tuesday 23 November

Tension is building up in the upcoming presidential election

Competition for the presidential election due to be held in January 2011 could be fierce.

Former Vice-President Atiku Abubakar may well be the new candidate of the dominant PDP (People's Democratic Party) likely to compete with Goodluck Jonathan, the current president.

Shehu Garba, the spokesman for Mr Abubakar, has also said that he had "excellent chances" to represent the PDP.

A group of northern Nigerian politicians met to choose a candidate and Abubakar defeated three other contenders, including the military ruler, Ibrahim Babangida.

According to Garba, Ababakar is about to become the new president of Nigeria, after a campaign that, he said, had a broad national apeal.
The People's Democratic Party remains divided between a Muslim North (Abubakar) and a Christian South (Jonathan), Garba remains convinced that the future president must come from the northern part of the country.



Mardi 23 novembre

La prochaine élection présidentielle s'annonce serrée

La présidentielle de janvier 2011 promet d'être intéressante. En effet, l'ancien vice-président, Atiku Abubakar, pourrait bien être le nouveau candidat du PDP (Parti Démocratique Populaire) majoritaire. Il sera en concurrence avec Goodluck Jonathan, l'actuel président.

Le porte parole de M. Abubakar, Shehu Garba, a déclaré qu'il avait "d'excellentes chances" de représenter le PDP.
Les dirigeants nordistes du parti se sont réunis pour choisir leur futur candidat, et Abubakar a battu trois autres prétendants, dont l’ex président, le militaire Ibrahim Babangida.

D'après Garba, Abubakar deviendra le nouveau président du Nigeria grâce à une campagne qu'il estime avoir soulevé l'enthousiasme dans tout le pays.

Le Parti Démocratique Populaire reste divisé entre les musulmans du Nord (avec Abubakar) et les chrétiens du Sud (avec Jonathan) et Garba reste convaincu que le futur président doit venir du Nord du pays.


Lucie


Source :
http://www.voanews.com/english/news/africa/Abubakar-Emerges-as-Challenger-to-Nigerian-President-Jonathan-110002629.html

November 21, 2010

Saturday 20 November

Delta hostages freed


The seven foreigners, who had been abducted by the Movement for the Emancipation of the Niger Delta (MEND) on Monday, November 8 at a London Afren PLC Nigeria's oil rig, were released last Thursday with twelve other Nigerian hostages, thanks to the army’s intervention.

It's unknown whether any militants were killed, nor where the operation occurred but there were no casualties within the hostage group. Indeed, for the first time Nigerian military worked in cooperation with local contacts in order to gather intelligence about the militants. France and Canada thanked them for freeing the hostages.

Last year, MEND had succeeded to reduce the country's oil production, which had caused an increase in global oil prices. Therefore the government was agreed on a ceasefire with the militants in exchange for job trainings and money. But the new attacks on Niger Delta's oil rigs by MEND ended this truce.

MEND claims to be fighting for a fairer distribution of oil wealth among Nigerian population. However, militants use the money of ransoms and oil theft for their own benefits.



Samedi 20 novembre

Otages libérés dans le Delta

Les sept otages étrangers qui avaient été enlevés par le Mouvement pour l'Émancipation du Delta du Niger le lundi 8 novembre sur la plate forme pétrolière de London Afren PLC, ont été libérés jeudi dernier avec douze autres otages nigérians grâce à l'intervention de l’armée.

Les lieux et le déroulement exacts des opérations liées à leur libération demeurent inconnus, mais aucun blessé n'a été signalé au sein du groupe d'otages. L'armée nigériane a pour la première fois coopéré avec des contacts locaux pour préparer l’opération. La France et la Canada l'ont remerciée d'avoir libéré les détenus.

L'année précédente le MEND était parvenu à réduire la production de pétrole du pays, ce qui avait causé une hausse des prix mondiale. Le gouvernement avait donc convenu un cessez-le-feu avec les militants en échange de formations professionnelles et d'argent. Mais les nouvelles attaques des plateformes pétrolières du delta du Niger ont mis fin à cette trêve.

Le MEND dit se battre pour une répartition plus équitable de la richesse pétrolière parmi la population Nigériane. Cependant, les militants utilisent l'argent des rançons et du vol de pétrole pour leur propre bénéfice.

Laure

Source



November 20, 2010

Thursday 11 November


Hostage taking of five foreigners at a Nigeria oil rig


Last Monday, the Movement for the Emancipation of the Niger Delta (MEND) took five foreigners hostage at an Afren oil rig which was about to start infill drilling operations on the High Island VII jackup platform.

The attack occurred early in the morning at the Okoro field near Akwa Ibon. Gunmen shot two Indonesians and abducted five other Afren crew members who are said to be two Americans, two French and one Canadian, according to security and company sources.

The reasons for their presence there are still unknown, but the United States has nevertheless asked for the prompt release of all the hostages.

Three French had already been seized in September and Nigerian criminal gangs are used to calling for ransoms after claiming for better distributions of the country’s oil wealth; the hostages are then generally quickly freed.



Jeudi 11 novembre

Prise d'otage de cinq étrangers sur une plate-forme pétrolière au Nigeria


Lundi dernier, le Mouvement pour l’Émancipation du Delta du Niger (MEND) a pris en otage cinq étrangers sur la plate-forme pétrolière High Island VII du groupe Afren qui s’apprêtait à être mise en service.

L’attaque a eu lieu tôt le matin sur le champ d’Okoro, près d’Akwa Ibom. Des hommes armés ont tiré sur deux Indonésiens et enlevé cinq autres employés d’Afren ; il s’agirait de deux Américains, deux Français et un Canadien selon les sources de la sécurité et de la compagnie.

Les raisons de leur présence là-bas demeurent inconnues, mais les Etats-Unis ont néanmoins demandé la libération immédiate de tous les otages.

Trois Français avaient déjà été kidnappés en septembre et les gangs nigérians sont connus pour réclamer des rançons après avoir revendiqué une meilleure redistribution des richesses pétrolières du pays. Les détenus sont alors généralement rapidement relâchés.


Valentine


Source

Wenesday 3 November


Nigeria independence celebrations

marred by blasts


On Monday 1 November, during the celebration of the 50th anniversary of Nigeria's independence, at least eight people were killed, including a police officer, by explosions in capital city Abuja.

Two blasts outside the justice ministry were caused by car bombs.

Friday morning, the militant group Mend (Movement for the Emancipation of the Niger Delta) had threatened to target the festivities in an e-mail. In the message, the group which is demanding a fairer distribution of the country's oil revenues said there was "nothing worth celebrating after 50 years of failure".

The two bombs went off about five minutes apart, so there were more casualties at the second explosion because the first explosion drew crowds to the scene. This tragic event was called a "wicked act of desperation by criminals and murderers" by President Goodluck Jonathan.



Les célébrations de l'indépendance du Nigeria marquées par des attentats


Lundi 1er Novembre, pendant la célébration du 50è anniversaire de l'indépendance du Nigeria, au moins huit personnes ont été tuées, dont un officier de police, par des explosions à Abuja, la capitale du Nigeria. Deux explosions devant le ministère de la justice ont été causées par des voitures piégées.

Vendredi matin, le Mend (Mouvement pour l'émancipation du Delta du Niger) a menacé de s'en prendre aux festivités dans un mail. Dans le message, le groupe qui réclame une répartition plus équitable des revenus pétroliers du pays, dit "il n'y a rien à célébrer après 50 ans d'échec".

Les deux bombes ont explosé à cinq minutes d'intervalle, la seconde ayant été d'autant plus meurtrière que la foule avait accouru sur les lieux du premier attentat.

Le président Goodluck Jonathan a qualifié ce tragique événement "d’acte ignoble et désespéré commis par des criminels et des assassins."


Lucie




November 18, 2010

Friday 22 Octobrer


The woman who fought back


The high court of Sokoto state has been compelled to dismiss the complaint of Zainab Isa Mayana, forced by her father to marry Senator Sahabi Ya'u in one of the northern states of the country where islam is dominant. The court can't deal with a matrimonial islamic case.

Fortunately for the young woman, most Muslims in northern Nigeria are against forced marriages and they supported her for this case. They find her "courageous" to fight against her father and the senator, for her rights as woman.

Finally she will bring the case to the islamic court which is the most competent to conduct the trial. As her lawyer said, Zainab Isa Mayana will not give up until she can be married with the man of her choice and enjoy her freedom.

Vendredi 22 octobre

Le combat d'une femme


Le tribunal de grande instance de l'état de Sokoto s'est vu obligé de rejeter la plainte de Zainab Isa Mayana, forcée par son père au mariage avec le sénateur Sahabi Ya'u dans le nord du pays sous régime islamique. En effet, cette instance ne peut juger d'une affaire matrimoniale islamique.


Cependant, un nombre important des musulmans du nord opposés au mariage forcé ont pris le parti de la jeune femme. Ils trouvent courageux de sa part de se battre contre son père et le sénateur pour ses droits en tant que femme.


Finalement elle a décidé de porter l'affaire devant un tribunal islamique, seul compétent pour instruire le procès. Comme le dit son avocat, Zainab Isa Mayana va continuer à se battre pour pouvoir se marier avec l'homme de son choix, ainsi que pour sa liberté.

Laure

Source