May 25, 2011

Thursday 12th May,

When agriculture could save a country

Since his victory at the presidential elections, Goodluck Jonathan has wanted to focus on the urgent need to boost agriculture. In fact, the Nigerian economy is fragile because of massive oil dependence and a neglected agricultural sector.

In the 1970s, after the oil boom, the exploitation of mineral resources and agricultural production started declining, which caused the uneployment rate to skyrocket and brought about food crisis, inflation, corruption and poor attitude to work. The income of most families spiraled down and life expectancy was reduced to 45 over these past few years. In the bargain, Nigeria ranks first for malnourished children and last for quality of health and education services and is also the 20th country with the hungriest people in the world.

With all successive governments in Nigeria, agriculture has always been a high priority even if it generated rather disappointing results because of corruption. For example, after his election, President, Alhaji Shehu Shagari wanted to increase domestic food production and reduce the high rate of food importation with his “Green Revolution Program”.

Thus, investing in agriculture, rehabilitating degraded lands, maintaining soil fertility and improving technologies to increase agricultural yield are definitely the greatest challenge facing the Jonathan government.

My opinion
Profitable agriculture in Nigeria has become an urgent necessity. For an African country rich in natural resources, it is possible for Nigeria to do like Cameroon, which produces enough to feed its entire population. That is why the current government must do everything to tackle the issue by investing in agriculture, which should help solve the problems of unemployment and poverty in the country.


Jeudi 12 mai,

Quand l’agriculture pourrait sauver un pays

Depuis sa victoire aux élections présidentielles, Goodluck Jonathan, a voulu mettre l'accent sur la nécessité urgente de relancer l'agriculture. En fait, l'économie du Nigeria est dans un état fragile en raison d'un secteur agricole négligé et de la grande dépendance pétrolière du Nigeria.

En effet, dans les années 1970, après le boom pétrolier, l'exploitation des ressources minérales et la production agricole ont commencé à diminuer. Ce qui a entraîné la montée en flèche du taux de chômage, la crise alimentaire, l'inflation, la corruption, la mauvaise attitude au travail, la baisse de revenu de la plupart des familles et la réduction de l'espérance de vie à 45 ans au cours des dernières années, d’après les rapports de développement humain dans le monde. Le Nigeria arrive en tête des pays ayant le plus d’enfants souffrant de malnutrition et en queue de peloton pour la qualité de la santé et des services d'éducation ; il se classe au 20e rang des pays souffrant de malnutrition.

Tous les gouvernements qui se sont succédé au Nigeria ont toujours placé l'agriculture en tête de leurs priorités, même les résultats se avérés décevants en raison de la corruption endémique. Par exemple, après son élection, le président, Alhaji Shehu Shagari, avait déjà voulu accroître la production agricole nationale et réduire le taux élevé d'importation de produits alimentaires avec son "Programme de révolution verte».

Ainsi, investir dans l'agriculture, remettre en état les terres gégradées, améliorer la fertilité du sol et les outils technologiques permettront d'accroître le rendement agricole, qui est certainement le plus grand défi du gouvernement de Jonathan.


Mon avis
Que l’agriculture devienne rentable dans le Nigeria est actuellement plus qu’une nécessité. Pour un pays africain riche en ressources naturelles, c'est un gros problème. Il est pourtant possible pour le Nigeria d’égaler le Cameroun, qui produit suffisamment pour nourrir toute sa population. C'est pourquoi le gouvernement actuel du président doit tout faire pour y remédier en investissant dans l'agriculture fonctionnelle, ce qui devrait aider à résoudre les problèmes du chômage et la pauvreté dans le pays.


Lucie

Sources : http://allafrica.com/stories/201105110732.html

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