Thursday 2 December
The AIDS war is not over
On the occasion of the International Day against AIDs, the National Population Commision (NPC) and the National Agency for the Control of AIDs (NACA) disclosed the first results of their survey of the populations who are the most exposed to the virus in seven chosen Nigerian areas.
During the annual Evaluation of Community Response to HIV/AIDs which occurred last Tuesday in Abuja, the organizations revealed that by the end of 2010, three million Nigerians are living with acquired immunodeficiency syndrome - that is 4.6% of the population.
Despite this sizeable rate, the results are reassuring and show that the spread of AIDs within the country has evened out since 2008. In 2001, the number of carriers of the disease in Nigeria reached 5.8% and then decreased steadily until 2008, according to an expert’s report conducted over a period of seven years.
This stabilization of the spread of the virus mainly results from the prevention campaigns staged by the government and NGOs over the past few years. They prompted more people to really grow aware of AIDs effects and use condoms in order to have safe sex, which has enabled to contain the virus.
A complementary field study is currently taking place in Akwa Ibom, Benue, Lagos, Enugu, Adamowa, Kaduna and on the Federal Capital Territory (FCT), with the Department for International Development’s support. It has a budget of 32.5 million nairas (about £147,000 – $233,000) and is financed by the World Bank.
Jeudi 2 décembre
La guerre contre le SIDA n’est pas finie
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, la Commission nationale de la population (NPC) et l’Agence nationale pour la lutte contre le SIDA (NACA) ont rendu public les premiers résultats de leur enquête visant à recenser les populations les plus exposées au virus à partir de sept zones déterminées.
Lors de l’Évaluation annuelle de la Campagne communautaire contre le VIH/SIDA qui s’est tenue à Abuja mardi dernier, les organismes ont révélé que fin 2010, trois millions de Nigérians vivent avec le syndrome d’immunodéficience acquise, soit 4,6 % de la population.
Malgré ce taux conséquent, les résultats sont rassurants et montrent que la propagation du SIDA au sein du pays est enrayée. En effet, en 2001, le nombre de porteurs de la maladie au Nigeria s’élevait à 5,8 %, chiffre qui n’a cessé de décroître jusqu’en 2008 d’après une enquête menée sur une période de sept ans.
Cette stabilisation de la diffusion du virus est en partie due aux campagnes d’information et de prévention lancées par le gouvernement et diverses organisations non gouvernementales depuis quelques années. Elles ont contribué à une prise de conscience réelle du risque par un plus grand nombre de gens, mais aussi à l’utilisation plus régulière de préservatifs, ce qui a permis de contenir la maladie.
Une étude de terrain complémentaire se déroule actuellement dans les villes d’Akwa Ibom, Benue, Lagos, Enugu, Adamowa, Kaduna, ainsi que sur le Territoire Fédéral de la Capitale, avec le soutien du Département du développement international. Elle dispose d’un budget de 35,2 millions de nairas (l’équivalent de 176.000 €) et est financée par la Banque Mondiale.
Valentine
Source
The AIDS war is not over
On the occasion of the International Day against AIDs, the National Population Commision (NPC) and the National Agency for the Control of AIDs (NACA) disclosed the first results of their survey of the populations who are the most exposed to the virus in seven chosen Nigerian areas.
During the annual Evaluation of Community Response to HIV/AIDs which occurred last Tuesday in Abuja, the organizations revealed that by the end of 2010, three million Nigerians are living with acquired immunodeficiency syndrome - that is 4.6% of the population.
Despite this sizeable rate, the results are reassuring and show that the spread of AIDs within the country has evened out since 2008. In 2001, the number of carriers of the disease in Nigeria reached 5.8% and then decreased steadily until 2008, according to an expert’s report conducted over a period of seven years.
This stabilization of the spread of the virus mainly results from the prevention campaigns staged by the government and NGOs over the past few years. They prompted more people to really grow aware of AIDs effects and use condoms in order to have safe sex, which has enabled to contain the virus.
A complementary field study is currently taking place in Akwa Ibom, Benue, Lagos, Enugu, Adamowa, Kaduna and on the Federal Capital Territory (FCT), with the Department for International Development’s support. It has a budget of 32.5 million nairas (about £147,000 – $233,000) and is financed by the World Bank.
Jeudi 2 décembre
La guerre contre le SIDA n’est pas finie
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, la Commission nationale de la population (NPC) et l’Agence nationale pour la lutte contre le SIDA (NACA) ont rendu public les premiers résultats de leur enquête visant à recenser les populations les plus exposées au virus à partir de sept zones déterminées.
Lors de l’Évaluation annuelle de la Campagne communautaire contre le VIH/SIDA qui s’est tenue à Abuja mardi dernier, les organismes ont révélé que fin 2010, trois millions de Nigérians vivent avec le syndrome d’immunodéficience acquise, soit 4,6 % de la population.
Malgré ce taux conséquent, les résultats sont rassurants et montrent que la propagation du SIDA au sein du pays est enrayée. En effet, en 2001, le nombre de porteurs de la maladie au Nigeria s’élevait à 5,8 %, chiffre qui n’a cessé de décroître jusqu’en 2008 d’après une enquête menée sur une période de sept ans.
Cette stabilisation de la diffusion du virus est en partie due aux campagnes d’information et de prévention lancées par le gouvernement et diverses organisations non gouvernementales depuis quelques années. Elles ont contribué à une prise de conscience réelle du risque par un plus grand nombre de gens, mais aussi à l’utilisation plus régulière de préservatifs, ce qui a permis de contenir la maladie.
Une étude de terrain complémentaire se déroule actuellement dans les villes d’Akwa Ibom, Benue, Lagos, Enugu, Adamowa, Kaduna, ainsi que sur le Territoire Fédéral de la Capitale, avec le soutien du Département du développement international. Elle dispose d’un budget de 35,2 millions de nairas (l’équivalent de 176.000 €) et est financée par la Banque Mondiale.
Valentine
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