December 23, 2010

Sunday 19 December,

Fight against fake drugs

According to the think tank International Policy Network (IPN), about 700,000 people suffering from malaria and tuberculosis, die every year around the world because of fake drugs. In fact, 10 to 15% of all drugs are considered fake, but this estimate may reach 50% in some parts of Africa, the dilution causing some drugs to lose their efficiency.


A new scheme will target diseases like malaria and combat the rise in fake medicines by verifying the authenticity of medicines has been developed in Nigeria and Ghana. The project involves sending the code of the medicine from a mobile phone to a specific free number; then the person receives a message indicating whether the medication is genuine or not. Currently, more than 500,000 bottles of medicines and pills packets are differentiated with a unique code.

The project is supported by governments and drug companies who pledged to communicate in pharmacies, surgeries, hospitals and community centres. It is very important that it should work in Africa where about 80% of medicines are generic.

This system is only possible if one has a phone, as this now ubiquitous technology has beenchosen to check the drugs. It is therefore possible for Nigerians and Ghanaians who do not have one, to ask friends or family. In addition, every box, package or bottle of medicine has a unique code to scratch that can be used only once.

If the project works and is successful, this system will be extended to cover more than 6 million medicines in the next 12 months.



Dimanche 19 décembre,

Le combat contre les faux médicaments

Environ 700.000 personnes meurent tous les ans à cause du paludisme et de la tuberculose dans le monde à cause de faux médicaments, d'après l’organisation International Policy Network. En effet, environ 10 à 15% des médicaments sont considérés comme faux, mais dans certaines parties d'Afrique, cette estimation peut atteindre 50%. La dilution de certains médicaments développerait des résistances nouvelles aux traitements.


Le gouvernement veut enrayer les maladies comme le paludisme et combattre l'augmentation du nombre de faux médicament. Un nouveau système pour vérifier leur authenticité a été testé au Nigeria et au Ghana. Le projet consiste à envoyer d'un téléphone portable le code du médicament vers un numéro spécifique et gratuit. La personne reçoit ensuite un message lui indiquant si le remède est authentique ou non. Pour le moment, plus de 500.000 flacons de médicaments et de paquets de pilules sont différenciés avec un code unique.

Le projet est soutenu par le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques qui se sont engagées à participer à une campagne d'information dans les pharmacies, hôpitaux et centres communautaires. Il est très important que le projet donne des résultats positifs en l'Afrique où environ 80% des médicaments sont génériques.

Ce système n'est possible que si l'on possède un téléphone, c'est cette technologie moderne, aujourd'hui omniprésente, qui a été choisie pour servir à la vérification des médicaments. Il est donc possible pour les Nigérians et Ghanéens qui n'en n'ont pas, de demander aux amis ou à la famille de vérifier pour eux. De plus, chaque boîte, paquet ou flacon de médicament a un unique code à gratter qui ne peut être utilisé qu'une seule fois.

Si le projet est couronné de succès, ce système sera étendu afin de couvrir plus de 6 millions de médicaments dans les 12 prochains mois.



Lucie



Source : http://www.bbc.co.uk/news/technology-11983655

December 14, 2010

Thursday 2 December


The AIDS war is not over


On the occasion of the International Day against AIDs, the National Population Commision (NPC) and the National Agency for the Control of AIDs (NACA) disclosed the first results of their survey of the populations who are the most exposed to the virus in seven chosen Nigerian areas.


During the annual Evaluation of Community Response to HIV/AIDs which occurred last Tuesday in Abuja, the organizations revealed that by the end of 2010, three million Nigerians are living with acquired immunodeficiency syndrome - that is 4.6% of the population.


Despite this sizeable rate, the results are reassuring and show that the spread of AIDs within the country has evened out since 2008. In 2001, the number of carriers of the disease in Nigeria reached 5.8% and then decreased steadily until 2008, according to an expert’s report conducted over a period of seven years.


This stabilization of the spread of the virus mainly results from the prevention campaigns staged by the government and NGOs over the past few years. They prompted more people to really grow aware of AIDs effects and use condoms in order to have safe sex, which has enabled to contain the virus.


A complementary field study is currently taking place in Akwa Ibom, Benue, Lagos, Enugu, Adamowa, Kaduna and on the Federal Capital Territory (FCT), with the Department for International Development’s support. It has a budget of 32.5 million nairas (about £147,000 – $233,000) and is financed by the World Bank.



Jeudi 2 décembre


La guerre contre le SIDA n’est pas finie


À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, la Commission nationale de la population (NPC) et l’Agence nationale pour la lutte contre le SIDA (NACA) ont rendu public les premiers résultats de leur enquête visant à recenser les populations les plus exposées au virus à partir de sept zones déterminées.


Lors de l’Évaluation annuelle de la Campagne communautaire contre le VIH/SIDA qui s’est tenue à Abuja mardi dernier, les organismes ont révélé que fin 2010, trois millions de Nigérians vivent avec le syndrome d’immunodéficience acquise, soit 4,6 % de la population.


Malgré ce taux conséquent, les résultats sont rassurants et montrent que la propagation du SIDA au sein du pays est enrayée. En effet, en 2001, le nombre de porteurs de la maladie au Nigeria s’élevait à 5,8 %, chiffre qui n’a cessé de décroître jusqu’en 2008 d’après une enquête menée sur une période de sept ans.


Cette stabilisation de la diffusion du virus est en partie due aux campagnes d’information et de prévention lancées par le gouvernement et diverses organisations non gouvernementales depuis quelques années. Elles ont contribué à une prise de conscience réelle du risque par un plus grand nombre de gens, mais aussi à l’utilisation plus régulière de préservatifs, ce qui a permis de contenir la maladie.


Une étude de terrain complémentaire se déroule actuellement dans les villes d’Akwa Ibom, Benue, Lagos, Enugu, Adamowa, Kaduna, ainsi que sur le Territoire Fédéral de la Capitale, avec le soutien du Département du développement international. Elle dispose d’un budget de 35,2 millions de nairas (l’équivalent de 176.000 €) et est financée par la Banque Mondiale.



Valentine



Source

December 12, 2010

Saturday 11 December


Theft of election material


New voter registration equipments, which were supposed to avoid fraud for the presidential elections of 2011, were stolen during a heist shortly after they arrived on Wednesday 8, at Nigeria's main international airport Murtala Muhammed near Lagos.

The equipment was supposed to be used to register 70 million citizens before the next presidential election to avoid a repeat of the last elections when fictitious and dead people were listed on electoral roll.

The theft is rumored to be linked to poll rigging but the independent national electoral commission claims that it will not affect the forthcoming vote. “There are adequate safety features to forestall any nefarious use of the stolen items; as such, the integrity of the electoral processes would not be compromised”.

Following the theft, doubts were expressed about the safety of Lagos airport. It is not the first time that an incident has taken place. Last December Umar Farouk Abdulmutallab had managed to fly to Detroit with explosives hidden under his clothes. Therefore the presidency decided to call the Minister of Aviation and the managing director of the federal airports authority over the security situation at airports.

According to local press, sixteen of the twenty machines might have been recovered.

Samedi 11 décembre


Vol de matériel électoral


Le nouvel équipement d'enregistrement des électeurs qui devait éviter la fraude lors des prochaines élections présidentielles de 2011 a été volé lors d'un hold-up dans l'aéroport Murtala Muhammed de Lagos, peu après son arrivée le mercredi 8 décembre dernier.

Le matériel devait permettre à 70 million de Nigérians de s'inscrire pour les prochaines élections présidentielles afin de ne pas répéter les erreurs du passé quand des personnes mortes ou fictives avait été inscrites sur les listes électorales.

La disparition des machines a été interprétée par certains comme une volonté de truquer les scrutins. Mais la commission électorale nationale indépendante soutient que le vol n'aura pas d'effet sur les résultats des prochaines élections : « des systèmes de sécurité adéquates ont été mis en place afin prévenir toute utilisation frauduleuse des objets volés; l'intégrité du processus électoral ne devrait pas être compromise ».

Suite au vol, des doutes ont été émis quant à la sécurité de l'aéroport de Lagos. Ce n'est pas la première fois qu'un incident a lieu. En effet, en décembre dernier Umar Farouk Abdulmutallab avait réussi à monter à bord d'un avion pour Détroit avec des explosifs cachés sous ses vêtements. C'est pourquoi la présidence a décidé de convoquer le ministre de l'aviation et le directeur général de l'autorité fédérale des aéroports sur la situation de sécurité de ces derniers.

Selon la presse locale, seize des vingt machines auraient été récupérées.


Laure

Source 1

Source 2