January 17, 2018

A Chibok girl rescued


In 2014, 270 girls was kidnapped in Chibok, in the northeast of the country by the Boko Haram group. An awareness campaign began on twitter with the hashtag #BringOurGirlsBack. In October 2016, after a long negotiation with the Islamist group, 21 girls were freed.
In the first week of the year 2018, one of the girls who was still detained was rescued. She was found in Pulka, in the Borno state with a teenager and a child but they have not been identified yet.
According to a statement, the girl is safe now, and receives medical attention.
Like the other girls who were kidnapped, she will undergo psycho-social therapy under government custody. When they are “rehabilitated”, the government has pledged to take care of their further education.

Une fille de Chibok libérée

En 2014, 270 lycéennes ont été enlevées à Chibok, dans le Nord-est du pays par le groupe islamiste Boko Haram. Une campagne de sensibilisation a été lancée, notamment sur twitter, avec le hashtag #BringOurGirlsBack (Ramenez-Nous Nos Filles).
En octobre 2016, après de longues négociations avec le groupe islamiste, 21 filles ont été libérées. La première semaine de l’année 2018, une des filles qui était toujours prisonnière du groupe a été libérée. Elle a été retrouvée à Pulka, dans l’Etat de Borno avec une adolescente de 14 ans et un enfant. Ces derniers n’ont toujours pas été identifiés.
D’après une déclaration, la jeune fille est maintenant en lieu sûr et reçoit des soins médicaux. Comme les autres filles qui étaient retenues prisonnières par le groupe, elle va surement suivre une thérapie psycho-sociale sous la tutelle du gouvernement. Quand elles seront rétablies, les pouvoirs publics se sont engagés à pourvoir à leurs études.

January 16, 2018

Cameroonian separatist arrested in Nigeria

Friday 5th January 2018, the Department for State Service ( DSS ) arrested a Cameroonian in Abuja, the capital of Nigeria. Sisiku Ayuk Tabe is the leader of a separatist movement in Cameroon named «  Governing Council of Ambazonia » ( GCA).
His movement is composed of the English minority activists who want to separate from French-speaking regions. The Republic of Ambazonia is the name given by independantists at the Southern Cameroon which is not recognize as a country.
Several members of GCA asked the Nigerian president Buhari to release Sisiku Ayuk Tabe. In fact, the arrest is illegal since according to the African Charter :  «  All peoples shall have the right to self-determination. They shall freely determine their political status... ».

Un séparatiste camerounais arrêté au Nigeria

Vendredi 5 Janvier 2018 la DSS qui est la principale agence de renseignement nigériane a arrêté un ressortissant Camerounais à Abuja, la capitale du Nigeria. Sisiku Ayuk Tabe est le leader d’un groupe séparatiste camerounais appelé « Governing Council of Ambazonia » ( GCA ).Son mouvement regroupe des militants de la minorité anglophone du Cameroun qui souhaite acquérir son indépendance par rapport à la majorité francophone.
La République d’Ambazonie est le nom donné par ce groupe à la partie sud du Cameroun où est concentrée cette minorité ; cependant cette République n’est pas reconnue tout comme son président Ayuk Tabe. Certains indépendantistes ont demandé au président nigérian de libérer leur chef, demande restée sans réponse. Pour eux, cette arrestation est illégale car la charte africaine stipule que tout peuple a droit à l’auto-détermination.

Eloïse

source : http://www.bbc.com/news/world-africa-42603610