Tuesday 20 December,
Prevention against cervix cancer is on the way
In Nigeria, about four to ten women die every day because of cervical cancer.According to the Emzor Group Managing Director (GMD), Stella Okoli, "the disease has been recorded to be the 12th most common and fifth most deadly cancer among women".
The major cause of this alarming rate is that most Nigerian women have no access to screening which is why many of them come down sick and ultimately die for lack of care. So the Emzor pharmaceutical group has established a "Purple project" which consists in offering free smear screening of cervical cancer to Nigerian women, to encourage them to screen at least every three years. The company really hopes that this project will save lives and increase awareness.
Even if cervical cancer symptoms may be absent until the disease is in its advanced stages, it may include vaginal bleeding. The surgery in early stages and chemotherapy in advanced are part of the treatment.
Two highly effective vaccines have been created to curb the disease which affects nearly thirty percent of women early in their sexual life. It is intended for girls of 14 to 25 years old who have not had sex or at most once. Each vaccine is made of three injections at about 140 € each, which must be made between six and twelve months. Currently, the most widely used is "Gardasil" produced by Sanofi Aventis.
Okoli added however that cervical cancer is preventable and treatable, so despite the scary statistics all hope is not lost, which is why women of child bearing age have to ensure early detection screening. In fact, eighty three per cent of the sick persons in the world live in developing countries like Nigeria.
My opinion
Cervical cancer prevention has speard for about two years in France, including massive awareness campaigns in the media, it has been widely publicized especially among girls. Although the vaccine is fully reimbursed in France, this is unfortunately impossible in a country with no social security like Nigeria. Indeed, thousands of residents live below the poverty line, the government is unable to protect its population against this new plague that is adding to the AIDS virus.
A very large divide widens between the two countries, opposed by their wealth and their development. We must remain optimistic and hope that the increased prevention through the media manages to limit the spread of the disease in Nigeria.
Jeudi 20 décembre,
La prévention contre le cancer du col de l'utérus s'organise
Environ quatre à dix femme succombent tous les jours à un cancer du col de l'utérus au Nigeria. D'après Stella Okoli, directrice du groupe pharmaceutique Emzor, "la maladie a été répertoriée comme la douzième plus courante et la cinquième plus meurtrière chez les femmes".
La principale cause de ces chiffres alarmants est que la majorité des femmes nigérianes n'ont pas accès au dépistage ce qui explique pourquoi la plupart d'entre elles tombent malades et finissent par mourir faute de soins. Emzor a donc décidé de lancer un "Projet pourpre" qui consiste à offrir gratuitement un frottis de dépistage pour encourager les Nigérianes à faire le test au moins une fois tous les trois ans. La société espère vraiment que le projet aider à sauver des vies et augmenter la sensibilisation.
Les symptômes se présentent généralement sous forme de saignements vaginaux même s'ils ne peuvent apparaître qu'à un stade avancé de la maladie. Le traitement diffère selon les stades, la chirurgie suffit pour les cas peu avancés mais la chimiothérapie est nécessaire quand le cancer est dépisté plus tard.
Deux vaccins très efficaces on été crées pour enrayer la maladie qui touche près de trente pour cent des femmes au début de leur vie sexuelle. Ils s'adressent donc aux jeunes filles de 14 à 25 ans n'ayant pas eu de rapports sexuels ou au maximum un seul. Chaque vaccin est réalisé en trois injections d'environ 140€ chacune, qui doivent être effectués entre six et douze mois. Actuellement, Le plus utilisé reste le Gardasil produit par les laboratoires Sanofis Aventis.
Okoli a également ajouté que la pathologie est évitable et traitable et malgré des statistiques peu rassurantes, tout espoir n'est pas perdu. C'est pourquoi toutes les femmes en âge de procréer doivent effectuer les examens de dépistage. Quatre-vingt-trois pour cent des personnes atteintes de la maladie dans le monde, vivent dans des pays en développement comme le Nigeria.
Mon opinion
J'ai constaté que la prévention du cancer du col de l'utérus avait fait un bond depuis environ deux ans en France, notamment grâce à des campagnes de sensibilisation massives dans les médias, c'est devenu un sujet de société et en particulier chez les jeunes filles. Le vaccin est intégralement remboursé en France ce qui est malheureusement impossible dans un pays comme le Nigeria qui ne possède pas de sécurité sociale et où des millions d'habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté. Le gouvernement est donc dans l'incapacité de prémunir sa population face à ce nouveau fléau qui vient s'ajouter au virus du Sida.
Un très large écart se fait sentir entre les deux pays, opposés par leur richesse et leur développement. Il faut rester optimiste et espérer que le l'accroissement de la prévention par les médias arrive à limiter la propagation de la maladie au Nigéria
Lucie
Sources :
http://www.docstoc.com/docs/69251692/HPV-Vaccine-and-Prevention-of-Cervical-Cancer-in-Africa
http://apps.who.int/hpvcentre/statistics/dynamic/ico/country_pdf/NGA.pdf?CFID=4005139&CFTOKEN=50211239
http://www.ngrguardiannews.com/index.php?option=com_content&view=article&id=35286%3Aemzor-launches-free-cervical-cancer-purple-project&catid=93%3Ascience&Itemid=608